Pourquoi une personne ivre devient inadéquate. Agression en état d'ébriété : comment réagir face à une personne agressive

L'agressivité dans l'intoxication alcoolique est le résultat d'un effet toxique systématique de l'éthanol sur les cellules cérébrales. Contrairement à la simple méchanceté, qui se manifeste sous l'influence de facteurs génétiques, biologiques, de maladies somatiques et des actions de la société environnante, il s'agit d'un trouble mental acquis. Ceci est le résultat d'un changement dans le travail des structures cérébrales chargées de contrôler et de corriger le comportement dans le contexte de l'ivresse.

L'empoisonnement au C2H5OH et l'agressivité sont directement liés. Avec l'effet toxique de l'éthanol, tout d'abord, les zones "comportementales", les "plus jeunes", qui sont apparues à la suite de l'évolution avec le développement de l'individu et de la société, sont principalement opprimées et meurent. A leur place, des zones sous-corticales profondes sont activées, structures évolutives primitives conçues simplement pour répondre à une irritation de l'extérieur : accroché - repousser, risque de danger - tuer.

Un comportement agressif en état d'ébriété est le résultat d'une inhibition de la vitesse de traitement de l'information dans le cerveau du système nerveux central, de l'incapacité à construire logiquement une image de la cause et de l'effet ou des conséquences des actions entreprises. Toutes les réactions de l'ivrogne à environnement sont inadéquates, la quantité d'attention est réduite, une défocalisation se produit entre les objets proches.

Par conséquent, tout mouvement d'une personne à proximité peut être considéré par un alcoolique comme danger potentiel, attaque. Et ici, la réaction primitive fournie par l'évolution en tant que défense est activée - attaquer en premier pour survivre. Autrement dit, un alcoolique avec des neurones "socio-comportementaux" morts est, en fait, un Néandertalien, une créature primitive.

Facteurs provocateurs

Mais les facteurs de colère qui la provoquent sont aussi responsables du développement de l'agressivité alcoolique :

• ivresse constante - dans son contexte et en raison d'une intoxication systématique au C2H5OH, le cortex cérébral est épuisé, l'agressivité apparaît après 1-2 verres;
• TCC, dysfonctionnement cérébral, microcoups - le tissu cérébral, initialement "malsain", réagit plus rapidement aux toxines alcooliques;
• maladie mentale - avec eux, l'alcool est toujours interdit et l'agressivité chez un alcoolique atteint de paranoïa, de double personnalité, de dépression entraîne souvent un meurtre ou un suicide;
• qualités personnelles (gènes, éducation) - si dans un état sobre une personne est mauvaise, de mauvaise humeur, impulsive, alors lorsqu'elle est ivre, elle s'aggrave.

Le niveau d'agressivité lors de la prise d'alcool augmente selon les stades de l'alcoolisme, le 2 ou le 3 l'ivrogne est constamment dans un état colérique et irritable. Déjà au 1er stade, le corps s'habitue à l'apport systématique d'éthanol, qui ne provoque pas d'euphorie, l'alcoolique augmente la dose. L'effet toxique accru sur le cerveau modifie son travail, provoquant de l'irritabilité, de l'impulsivité et une baisse de la maîtrise de soi.

La deuxième étape de l'alcoolisme se heurte à un problème supplémentaire - l'abstinence prononcée. L'inconfort physique et personne en bonne santé provoque des accès de mélancolie, de colère, il s'effondre sur les autres. Avec l'alcoolisme, l'agressivité augmente également en raison d'une envie irrésistible de boire, elle éclipse tout ce qui l'entoure. Mais l'application au flacon ne donne plus d'euphorie, de détente, l'ivrogne se fâche même aux moments de dégrisement.

Causes de la colère accrue dans l'alcoolisme

Il faut faire la distinction entre agressivité, agressivité et comportement agressif. Dans le premier cas, il s'agit d'une forme comportementale, dans le second - d'un trait de caractère inné, dans le troisième - d'une intentionnalité, exprimée par la violence physique et psychologique contre une autre personne.

Les pathologies affectives (rage, colère, colère) augmentent avec la prise systématique de produits contenant de l'éthanol, acquérant caractère pathologique. À syndrome de sevrage les composantes émotionnelles et mentales se manifestent par des troubles dysphoriques. Leur sévérité est d'intensité variable : de la grogne, du mécontentement au comportement explosif, en passant par une forte agressivité.

Dans l'alcoolisme chronique, les caractéristiques psychologiques individuelles d'une personne disparaissent complètement. Toutes les réalisations - éducation, éducation - sont "emportées par l'alcool", la faiblesse de la logique et du jugement devient apparente. La douceur, la gentillesse sous l'influence d'un poison toxique se transforment en cynisme grossier, en diminution des normes éthiques et en rigidité mentale.

Communication instable état émotionnel et l'alcoolisme direct. Le plus souvent, la dépendance provoque des troubles psycho-like, une augmentation du degré d'un processus encéphalopathique de nature organique. L'agression atteint le degré le plus élevé manifestations.

La conséquence logique de l'effet toxique du C2H5OH sur le cerveau est la dégradation mentale et sociale ! Manifesté dans différents types: autiste, déviant, destructeur et le plus dangereux - comportement agressif et criminel.

Que faire avec l'agression de l'alcool

La meilleure option est de laisser l'alcoolique seul avec tout son contenu intérieur ! Ne faites pas son choix avec votre vie. Vous ne pouvez pas vous sentir désolé pour l'ivrogne et l'agresseur, vous ne devez penser qu'à vous-même, aux enfants, à la famille.

S'il est impossible d'y échapper, il est raisonnable de développer votre propre stratégie de comportement, basée principalement sur la compréhension que vous ne pouvez pas percevoir un alcoolique comme une personne saine et adéquate. Sa perception déformée, son incapacité à penser logiquement ne lui permettent pas d'entendre ce que dit un être cher.

Vous ne pouvez pas - faire appel à la conscience, insister, jurer, convaincre, se mettre en colère, cela se traduit par une agression accrue et est associé à un risque pour la vie. Les psychologues conseillent d'adhérer aux tactiques suivantes:

• restez calme, ne donnez pas de raison à votre colère;
• détourner l'attention (offrir de la nourriture, une bouteille, de l'argent pour boire);
• se battre ("avec une poêle à frire dans le visage"), une méthode dangereuse mais vitale, est efficace si le "donneur" a confiance en sa force.

Mais il faut agir physiquement avec sagesse, le meurtre par négligence et même en vertu de la protection est pénalement punissable. Les méthodes énumérées sont efficaces une seule fois et avec une agression verbale, mais sont inutiles si l'alcoolique est sujet à la violence et si la victime est physiquement faible. Le problème doit être résolu radicalement, arrêter de communiquer avec l'ivrogne ou le traiter pour ivresse.

Méthodes de traitement

La poursuite de la vie avec un agresseur alcoolique est une série de tourments et de peur. Il est important et doit être traité, seul le rejet de l'éthanol et la stabilisation du travail des organes et des systèmes aideront à surmonter le problème.

Méthodes d'influence :

1. Médicaments (médicaments qui aident à soulager l'agressivité : tranquillisants, antipsychotiques, antidépresseurs, sédatifs, hypnotiques).
2. Aide d'un psychologue.
3. Codage, hypnose.

Les techniques auxiliaires - acupuncture, physiothérapie manuelle - aident à surmonter la dépression, l'apathie, la dépression, à normaliser les fonctions du système nerveux central. L'agressivité d'un alcoolique ne peut être tolérée, si un comportement asocial s'en tire constamment avec un ivrogne, il se détache encore plus. Et les libations systématiques ne font qu'augmenter la destruction des structures cérébrales chez l'homme et la manifestation de la méchanceté.

L'agressivité dans l'intoxication alcoolique survient dans environ 20% des cas. Risque important d'être agressé physiquement ou verbalement lors d'une interaction avec une personne en état d'ébriété. Ce phénomène est directement lié à l'effet des boissons fortes sur le système nerveux central. système nerveux la personne.

Les psychologues et les physiologistes étudient attentivement les faits de la manifestation de l'agression dans un état qui survient après la consommation d'alcool. L'attention portée à ce problème est due au fait que le nombre de personnes souffrant de dépendance à l'alcool se compte en millions.

À la lumière du comportement hostile en état d'ébriété, on considère les cas de meurtres dans lesquels soit le meurtrier, soit la victime était sous l'influence de l'alcool.

Selon l'Organisation mondiale de la santé, sous l'influence de l'intoxication, de l'alcool et de la drogue, la moitié des viols et plus de 85 % des meurtres sont perpétrés.

En cas d'agression physique, un rôle important est joué par la dose d'alcool consommée et la force des boissons.

Chemin de l'agressivité dans les modèles de désinhibition

Deux modèles de désinhibition sont sérieusement envisagés par les chercheurs sur les comportements agressifs sous l'influence de l'alcool.

Le modèle physiologique donne la priorité à l'effet de l'alcool sur les processus inhibiteurs. Les zones du cerveau responsables du contrôle du comportement sont affectées. À la suite de la suppression des processus se produisant dans les couches corticales, il y a une stimulation des parties plus profondes et plus primitives du cerveau.
Le modèle psychodynamique affirme que l'intoxication alcoolique affaiblit le système de censure et manifeste une agression refoulée.

Les deux théories reposent sur deux postulats. Premièrement, l'alcool affecte directement les centres nerveux inhibiteurs du cerveau. Deuxièmement, une force vit dans une personne qui cherche à nuire à une autre personne. Cette force se manifestera certainement si elle n'est pas contrôlée par les mécanismes nerveux.

Malheureusement, ces modèles, qui ont de nombreux partisans parmi les spécialistes, ne peuvent répondre à un certain nombre de questions importantes. Il ressort clairement de l'expérience que les gens ne se comportent pas toujours de manière agressive par la suite. Souvent, des stimuli préalables sont nécessaires pour qu'un comportement hostile se produise.

Théorie de l'excitation physiologique

Actuellement, la théorie gagne en popularité, selon laquelle l'accent est mis sur le fait que l'effet pharmacologique est sur les états émergents d'une expérience émotionnelle forte.
Selon ce modèle, après avoir bu de l'alcool, il y a une augmentation de l'excitation physiologique, qui se manifeste sous la forme d'une augmentation de la pression artérielle, de la glycémie, etc. Une telle excitation dans une certaine situation peut être interprétée comme un comportement dangereux. Cette théorie ne fournit pas non plus de réponses exhaustives aux questions qui se posent lors de l'examen de tous les aspects du comportement hostile après avoir bu des boissons alcoolisées. Et cela indique que l'alcool-agression est un complexe complexe dans lequel de nombreuses variables interagissent.

Modèle de version apprise

La théorie de la désinhibition savante soutient que la signification de signalisation de l'action de boire des boissons enivrantes est responsable de l'augmentation de l'agressivité. Ce modèle ignore les manifestations pharmacologiques de l'action de l'alcool et les aspects sociaux de l'apprentissage passent au premier plan. C'est-à-dire que les gens semblent professer la croyance qu'ils peuvent se comporter plus directement lorsqu'ils sont en état d'ébriété. Et cet état interrompt le cercle des normes de comportement dans l'environnement social.
Dans des conditions expérimentales, le sujet est convaincu qu'il boit une boisson alcoolisée, mais en fait on lui propose un placebo. Cependant, après avoir bu une boisson qui ne contenait pas un seul gramme d'alcool, il se comporte plus libéré qu'en état de sobriété complète.

Dans certaines sous-cultures, l'opinion est acceptée qu'une personne en état d'ébriété est partiellement dégagée de la responsabilité de ses actes. Et cela peut devenir un moyen d'échapper à la mise en œuvre des normes de comportement social. Mais ce modèle ne répond pas non plus à beaucoup de questions. Par exemple, pourquoi de petites portions d'alcool ne sont pas capables d'augmenter l'intensité de l'hostilité.

Une tentative de synthèse des modèles d'agressivité

Récemment, des modèles ont émergé qui tentent de concilier plusieurs aspects du problème de l'émergence de l'hostilité après la prise de boissons alcoolisées, dans une théorie.

Ces théories tentent de prouver que l'agressivité est une conséquence à la fois d'un état pharmacologique provoqué par l'alcool et de motivations situationnelles. Il a été prouvé que l'agressivité apparaît lorsqu'un état de conscience altéré est activé sur fond de facteurs provoquants.

Alors pourquoi y a-t-il une augmentation des tendances hostiles de l'homme ? Il est établi depuis longtemps que l'intoxication qui survient après la consommation d'alcool se caractérise par une inhibition des processus nerveux. Cela affecte négativement les processus de pensée, la mémoire, les capacités d'élocution et le comportement. Les violations qui se sont produites réduisent la capacité de percevoir correctement les impressions extérieures, de comprendre leur signification et de les fixer en mémoire. La capacité réduite à voir clairement les choses et à suivre de près les relations entre elles altère les processus cognitifs.

L'activité cérébrale est contrôlée par des impulsions stimulantes et inhibitrices. Menaces ou insultes niveau élevé les excitations augmentent la possibilité d'une réaction agressive.

Les normes des relations sociales, la force physique de l'adversaire réduisent la possibilité de collisions, diminuant l'excitation. prévoyance conséquences négatives l'agression conduit à une révision du sens de la situation. L'agression ne se produira que si les signaux provoquants sont plus forts que les motifs dissuasifs.

Sous l'influence de boissons enivrantes, un traitement adéquat des signaux émanant de environnement externe devient impossible. La vitesse de commutation de l'attention entre les sources d'information est réduite. Lorsque le champ d'attention est réduit, la quantité d'informations sur l'état de l'objet sera réduite. Pour cette raison, un individu aura tort d'évaluer les actions des autres. Les actions et paroles de l'autre seront interprétées au hasard. Cela peut provoquer une agression.

Dépendance à l'alcool

Lorsque Dépendance à l'alcool un comportement agressif peut survenir plus souvent, car les capacités cognitives sont sévèrement inhibées, par conséquent, le monde qui l'entoure devient de plus en plus dangereux pour l'alcoolique. Le stade d'euphorie est réduit, mais l'impolitesse et l'irritabilité après avoir pris des boissons alcoolisées se manifestent et l'hostilité envers les autres se manifeste. Des signes d'agressivité peuvent également apparaître lorsque le patient décide de renoncer à l'alcool. Dans ce cas, les forces du syndrome de sevrage entrent en jeu.

L'achèvement du processus de dépendance à l'alcool est une dégradation psychologique et sociale, qui s'accompagne de comportements antisociaux et criminels.

Agressivité dans la famille

Le risque d'être victime de violence domestique si un alcoolique vit dans la maison est assez élevé. Et chacun résout ce problème à sa manière. Vous pouvez appeler la police et envoyer votre conjoint enragé dans des lieux d'isolement forcé ou quitter la maison en emmenant vos enfants avec vous.

La dépendance à l'alcool, avec son comportement agressif inhérent, maladie en développement qui provoque la maladie et le malheur. Mais l'alcoolique lui-même ne comprend souvent pas qu'il est malade. Il croit sincèrement qu'il arrêtera de boire tout seul à tout moment. Une tentative par des proches de convaincre un alcoolique de commencer un traitement peut entraîner une aggravation de la situation et de nouveaux scandales.

Parler de la nécessité de consulter un narcologue n'est possible que lorsqu'une personne est sobre et peut évaluer correctement les circonstances de sa vie. Il est logique de se tourner vers un psychologue professionnel qui aidera à convaincre l'alcoolique qu'il y a un problème.

Si un consentement significatif au traitement est obtenu d'une personne malade, dans ce cas, il est nécessaire de déterminer les méthodes et les méthodes de traitement. Le narcologue choisira option appropriée selon l'état du patient.

L'alcoolisme peut être qualifié de fléau de l'humanité, car à tout moment cette terrible dépendance a apporté aux gens beaucoup de larmes et de souffrances. Dans une famille où il y a une dépendance à l'alcool, il ne faut pas chercher à rechercher des relations humaines normales, de l'amour ou des soins. La colère, la haine, l'agressivité en état d'ébriété s'y installent souvent.

Les alcooliques sont des gens inadéquats. Leur comportement est souvent impulsif, imprévisible, contradictoire et leur humeur change radicalement : de bénigne à colérique. L'alcool provoque l'agressivité.

Sur le degré d'agressivité des utilisateurs boissons alcoolisées les gens sont principalement affectés par la quantité d'alcool éthylique qui a pénétré dans le corps. Les ivrognes acquièrent trois caractéristiques principales au fil du temps :

1. L'état de dépression profonde en l'absence de possibilité d'utiliser la prochaine dose d'une boisson forte;
2. Désordonné apparence: vêtements sales, gonflés, souvent meurtris ou plaies infectées sur le visage ;
3. Animation et lueur joyeuse dans les yeux au moindre soupçon de l'occasion de boire.

Un alcoolique chronique souffre souvent de consommation excessive d'alcool, la période de consommation excessive dure des semaines. Il est difficile de supprimer les symptômes de l'intoxication alcoolique. Le patient est tourmenté syndrome de la gueule de bois. La dépression devient sa compagne constante, s'aggrave état général, les performances diminuent. L'alcool éthylique provoque une détérioration de la parole, qui devient incohérente, brouillée. L'alcool affecte les cellules du cerveau, entraînant une perte de mémoire chez un alcoolique. Il peut se saouler jusqu'à un tel état qu'il ne pourra même pas reconnaître ses proches, ses amis, il peut commettre un crime contre eux. La femme et les enfants sont impuissants à apaiser l'alcoolique déchaîné. Et la meilleure solution dans une telle situation est d'appeler la police.

Causes et stades de l'agressivité alcoolique

L'alcool éthylique, qui fait partie de l'alcool, affecte négativement condition mentale tous sans exception, quel que soit le sexe, l'âge, le degré de développement mental, le niveau de culture, la situation financière, l'état de santé. La réaction du corps à l'alcool est pratiquement la même pour tout le monde :

1. La première étape de l'intoxication est une bonne humeur complaisante, quand vous voulez sourire à tout le monde, étreindre et embrasser tout le monde;
2. Plus ivre - le mécontentement envers certains autres apparaît, les ressentiments passés, les conflits grands et petits, les histoires désagréables se souviennent, apparemment oubliées depuis longtemps. L'ivrogne commence à critiquer ses proches, à les insulter, à intimider, à menacer de vengeance, de représailles. Il ne peut plus se retenir, contrôler son comportement, maintenant il rit, maintenant il peut fondre en larmes ;
3. Le stade de forte intoxication est atteint par une forte dose d'alcool. Cela vient d'autant plus vite qu'une personne a une collation ou qu'elle mélange diverses boissons alcoolisées. L'overbuveur renaît littéralement sous nos yeux, répondant insuffisamment aux demandes des proches de ne plus continuer à abuser de l'alcool, d'arrêter. Il perd sa honte, crie furieusement sur tous ceux qui lui semblaient être un délinquant ou un ennemi, se précipite dans un combat, même s'il a lui-même souvent du mal à rester debout en raison de troubles du fonctionnement du cerveau, d'une perte de coordination. Les cris d'ivresse, les gestes insultants, les grimaces changent une personne au-delà de toute reconnaissance. En état d'ébriété alcoolique, le mari attrape un couteau, une arme à feu, des allumettes, croyant que les gens autour de lui qui le haïssent, sont des ennemis. Il cesse complètement de se contrôler et dans cet état commet facilement un crime.

Le danger de l'agressivité alcoolique

Le temps pendant lequel une personne se transforme en alcoolique chronique, pour chaque individu, mais pas si longtemps. Les termes dépendent de l'âge, du sexe, de la condition physique et santé mentale, l'ambiance dans la famille, l'environnement immédiat.

Femmes et enfants, les adolescents deviennent alcooliques plus rapidement que les hommes. Les personnes en bonne santé physique qui pratiquent un sport durent plus longtemps, mais elles aussi peuvent éventuellement tomber dans la catégorie des toxicomanes si elles sont emportées par la poursuite du «serpent vert».

Les symptômes qui peuvent être utilisés pour juger si la dépendance à l'alcool s'est formée dans le corps peuvent d'abord être la disparition du réflexe nauséeux après avoir bu de l'alcool, et plus tard, un gonflement du visage, d'où sans traitement médical ne plus s'en débarrasser. Ils ne quittent pas les visages des alcooliques chroniques jusqu'à la fin de leur vie.

Le comportement agressif d'une personne ivre est offensant pour les autres et très dangereux. Souvent une épouse est obligée, pour protéger ses enfants et elle-même, de recourir à la police : la famille du buveur ne peut à elle seule lutter contre le malheur qui lui est arrivé. Les stress fréquents, les peurs, les scandales, les menaces, les coups deviennent insupportables, la famille éclate. Souvent, une personne qui a trop bu ou qui s'est empoisonnée avec des boissons de mauvaise qualité décède prématurément et peut causer la mort d'autres personnes.

Lorsqu'ils sont sobres, les gens peuvent regretter leur agression, demander pardon, souffrir et pleurer, cherchant la réconciliation avec ceux avec qui ils ont eu un conflit la veille. Ils sont prêts à promettre de ne toucher personne du doigt, de ne battre personne, ils jurent que tout était la dernière fois et ne se reproduira plus jamais. Mais un cas se présente - et la perte d'une famille ne semble plus terrible à un alcoolique.

Agressivité alcoolique très dangereux. En état d'ébriété, une personne ne se rend pas compte qu'elle doit s'arrêter, se ressaisir. Donner des conseils pour commencer nouvelle vie, se soigner lors d'un ivresse ou d'une gueule de bois ne sert à rien. Dans la plupart des cas, la réponse à une offre sera un refus. Le problème doit être résolu quand pas une goutte d'alcool n'a été bue, sur une tête sobre.

La façon de faire face à l'alcoolisme et aux manifestations d'agressivité

Alcoolisme - grave, difficile maladie évitable qui doit être traité. La dépendance à l'alcool ne disparaît pas d'elle-même : pour l'éliminer, un traitement et des médicaments à long terme et persistants sont nécessaires.

Il est important de persuader un alcoolique de demander l'aide d'un narcologue, d'un psychologue, mais de ne pas le forcer à consulter un médecin. Le succès ne viendra que lorsqu'une personne se rendra compte qu'il y a un abîme devant elle, qu'elle se tient au bord de l'abîme et qu'elle a besoin de trouver la force en elle-même pour reprendre une vie normale et sobre.

Se tourner vers un psychologue pour obtenir des conseils, ne reculez pas. Aujourd'hui, dans de nombreuses villes et villages, des cliniques de district, il existe des centres de traitement de la toxicomanie où ils fourniront aide professionnelleà toute personne qui souhaite surmonter sa forte dépendance à l'alcool.

Il est très important que les personnes proches du patient en convalescence manifestent leur participation, contrôlent le déroulement du traitement, soutiennent, protègent contre la tentation de boire et aident à retrouver leur vie antérieure.

Au fil du temps, par des efforts conjoints, vous pouvez atteindre un état où l'ancien alcoolique refuse calmement le verre qui lui est offert, prend soin de sa famille et profite des manifestations positives de la vie. Et, peut-être, cela aidera une autre personne perdue à se débarrasser de l'alcool qui provoque l'agression.

Histoire de la vie

Vous pouvez vous rappeler de nombreuses histoires tristes liées au sujet "Alcool et agression". Une jeune femme a épousé un homme qui buvait occasionnellement. Il ne se considérait pas comme un alcoolique, et la persuasion de sa femme d'être plus prudente, d'éviter de boire fréquemment, il a refusé. La femme a fait de son mieux pour persuader son mari de mode de vie sain vie, espérant que la naissance d'enfants serait une incitation à la sobriété, mais le miracle ne s'est pas produit. Le mari s'est endormi. Il a battu sa femme et ses enfants. Un de leurs cinq enfants est mort en bas âge. La famille s'est séparée. Une femme élève seule quatre enfants, sans recevoir aucune ex-mari aucun soutien : il a continué à boire. Par une froide nuit d'hiver, l'ivrogne n'a pas pu atteindre la maison, ses mains ont gelé. Vit seul. L'aîné des fils, devenu adulte, a suivi le chemin de son père, s'est marié et une fille est née dans une jeune famille. Profitez simplement du bonheur. Mais dans un état d'ivresse extrême, le jeune père décède volontairement. Un tel prix incroyable payé pour l'addiction à l'alcool...

Salut mon lecteur ! Parlons d'un sujet important aujourd'hui. C'est de l'abus d'alcool. "Il était ivre" est une excuse typique pour un acte inconvenant. Après tout, si une personne est ivre, il est difficile d'attendre de sa part une réaction adéquate à ce qui se passe autour de lui. Le serpent vert pousse aux aventures les plus étranges et, malheureusement, elles sont loin d'être toujours inoffensives. La réaction de chaque personne à l'alcool est individuelle - quelqu'un commence à avoir sommeil et quelqu'un devient "violent dans le houblon". Quelles sont les raisons, et surtout, l'agressivité alcoolique chez les hommes : que faire ?

Des études ont montré que l'agressivité en état d'ébriété est directement liée à l'effet toxique de l'alcool éthylique. Une fois dans le corps, l'alcool a divers effets - il provoque une vasodilatation, qui accélère sa pénétration dans tous les tissus, et son effet le plus notable et le plus dangereux sur le tissu nerveux. En pénétrant à travers la barrière hémato-encéphalique, l'alcool pénètre dans le cerveau et exerce son effet toxique. Il se compose de plusieurs facteurs nocifs:

1. Effet d'empoisonnement direct - l'alcool éthylique lui-même est toxique pour cellules nerveuses.
2. Effet hypoxique - le métabolisme de l'alcool nécessite de l'oxygène, l'enlevant des neurones.
3. L'effet empoisonnant de l'acétaldéhyde. Ce produit intermédiaire du métabolisme de l'alcool est la principale cause de la gueule de bois. Il est plus toxique que l'alcool et peu soluble dans l'eau, ce qui provoque une augmentation de la pression osmotique et des œdèmes. tissu nerveux ce qui a causé mal de tête et détérioration du bien-être avec une gueule de bois.

L'impact de tous ces facteurs provoque la mort des cellules nerveuses, ce qui réduit la capacité de homme qui boità une perception adéquate de la réalité et à la capacité de se comporter en fonction de la situation.
Les changements de comportement pendant l'intoxication alcoolique sont instables et ne se prêtent pas à un contrôle raisonnable. Chez la plupart des gens, l'alcool provoque une humeur complaisante et calme au début, et l'agressivité vient plus tard. Puis une phase de sommeil ou de coma peut survenir.

On pense que l'alcool affecte les zones du cortex cérébral qui sont responsables de l'inhibition des régions sous-corticales primitives. En l'absence d'influence inhibitrice du cortex, le comportement est contrôlé par des régions sous-corticales qui réalisent des réactions comportementales primitives, y compris un comportement agressif. Dans ce cas, même l'alcool lui-même ne joue pas une mauvaise blague avec une personne, mais les caractéristiques de sa propre physiologie.

Les psychologues pensent que les mécanismes du comportement agressif étaient la norme pour les ancêtres humains, et avec le développement du cortex cérébral, le contrôle des départements plus "civilisés" sur les "sauvages" est apparu. L'alcool affaiblit cette influence, libérant des instincts anciens.

De plus, l'alcool a un effet similaire à l'effet de l'adrénaline, provoquant une excitation du système nerveux, ce qui peut encore contribuer à un comportement agressif.

Il existe une autre théorie qui explique la survenue de l'agression alcoolique non pas par des mécanismes biochimiques, mais par des mécanismes sociaux. Elle est basée sur l'hypothèse qu'une personne en train d'observer les autres boire des gens apprend un modèle de comportement agressif et, en buvant de l'alcool, réduit délibérément le contrôle de son comportement.

Cette théorie a également une confirmation expérimentale - les personnes à qui on a offert un placebo sous couvert d'alcool ont commencé à montrer de l'agressivité, malgré le fait que la boisson ne contenait pas d'alcool.

Un rôle important est également joué par le fait que l'alcool perturbe les fonctions cognitives et réduit la capacité d'analyser les informations, ainsi que la pensée et la mémoire. Par conséquent, une personne en état d'ébriété n'est pas en mesure d'interpréter correctement les paroles et les actions des autres et peut considérer qu'elles ont fait preuve d'agressivité à son égard et qu'il ne s'est défendu que lui-même.

De plus, l'expérience antérieure de consommation d'alcool joue également un rôle, en particulier dans les cas où il y a eu une manifestation d'agression de la part d'autres personnes. Si des situations similaires à une telle expérience précédente se répètent, la personne ivre commence à reproduire ses actions agressives dans la situation précédente.

Il serait tout à fait correct de considérer que lors de l'apparition de l'agressivité alcoolique chez divers degrés tous les facteurs ci-dessus se manifestent - l'effet toxique et hypoxique de l'alcool sur le cortex cérébral, la libération de réactions comportementales primitives, l'affaiblissement socialement conditionné du contrôle, l'expérience passée et une interprétation incorrecte du comportement des autres.

Le plus souvent, un comportement agressif se développe chez les personnes dépendantes de l'alcool, de sorte que l'agressivité ne devient pas occurrence unique mais une source constante de danger pour les autres.

Regardez cette vidéo : La chair de poule...

Types d'agression dans l'intoxication alcoolique

L'agressivité alcoolique dans la famille peut prendre Formes variées selon la personnalité du buveur. L'agression peut se limiter à de simples mots, ou elle peut mener au crime.

Types d'agressivité alcoolique :

• agression physique - recours à la violence contre autrui;
• verbal - insultes, déclarations agressives;
• direct - actions directement dangereuses pour les autres;
• indirect - l'ivrogne recherche un objet spécifique pour exprimer son agressivité;
• altruiste. Une personne cherche à protéger quelqu'un d'une menace réelle ou imaginaire ;
• auto-agression - le désir de se faire du mal. Peut prendre des formes implicites. Un exemple courant est la conduite en état d'ébriété et le fait de causer sciemment des accidents.

Selon certaines études, les personnes fermées, ayant divers problèmes dans la famille et au travail, sont plus sujettes à l'agressivité. C'est pourquoi l'étape la plus importante dans le traitement de la dépendance à l'alcool est de travailler non seulement avec le toxicomane lui-même, mais aussi avec son environnement.

Il est nécessaire d'expliquer aux proches d'un alcoolique qu'une vie ou un travail instable pousse leur parent à la bouteille, et cela peut aussi devenir une incitation à l'agression. Cela ne justifie en rien l'alcoolique, mais son retour à une vie sobre n'est possible que si son environnement change d'attitude à son égard.

Les statistiques montrent que les hommes sont plus enclins à l'agression lorsqu'ils sont intoxiqués que les femmes. Cela rend le problème encore plus dangereux pour les proches de l'alcoolique en raison de sa grande force physique, qui peut augmenter considérablement sous l'influence de l'alcool. L'alcoolisme agressif d'un mari et d'un père peut être un énorme problème pour sa famille, car la plupart des femmes, et en particulier les enfants, ne peuvent pas faire face à l'agression d'un homme adulte et sont obligées de se cacher ou de quitter la maison.

Agression alcoolique chez l'homme : que faire ?

Le problème est qu'une personne ivre qui se comporte de manière agressive ne se rend pas compte du danger de ses actions. Il insultera les autres, essaiera de les provoquer dans un combat, gâchera les objets environnants, dans les cas graves, des objets ou des armes improvisés peuvent être utilisés. Une personne ivre ne peut pas s'arrêter par elle-même, donc les autres doivent arrêter ses actions agressives.

Il existe plusieurs stratégies comportementales que les proches d'un buveur peuvent utiliser pour limiter la manifestation de son agressivité à leur encontre et se protéger. Tous les comportements énumérés ci-dessous ne nécessitent pas beaucoup de force physique, ils peuvent donc être facilement appliqués par les femmes.

Une précision importante est que pour candidature réussie chacune des stratégies de comportement énumérées nécessite une forte confiance en soi et un désir de calmer un parent violent. La moindre manifestation de faiblesse peut le provoquer à une agression encore plus grande contre les membres les plus faibles de la famille.

Ces méthodes peuvent aider à contenir temporairement l'agression verbale et sont beaucoup moins susceptibles de fonctionner contre l'agression physique. Lequel sera le plus efficace dépend de l'individu. Mais parfois, ils sont impuissants ou ont l'effet inverse, et la plupart des moyens efficaces contre l'ivrogne violent est une escouade de police.

Mais ce qui ne peut absolument pas être fait, c'est de se disputer et de se quereller avec un ivrogne, de lui permettre d'acheter de nouvelles portions d'alcool ou de lui donner de l'argent, et de lui montrer sa faiblesse et sa peur. Dans ce cas, l'agressivité de l'ivrogne finira par devenir incontrôlable et aucune des méthodes existantes ne contribuera à la freiner.

L'agressivité alcoolique chez les hommes peut être dangereuse pour vous et vos enfants. Que faire? La réponse est claire : COURS!

Quand un mari boit et est agressif, la vie de famille devient insupportable. La nature d'un alcoolique est instable et explosive, la moindre petite chose peut l'énerver et l'inciter à se dissoudre les mains. En état d'ébriété, il devient incontrôlable. Tous les ménages s'adaptent à l'humeur de l'alcoolique, essayant de prévoir ses actions et de ne pas tomber sous le coup main chaude. Les enfants à la vue d'un père ivre se cachent dans les coins pour ne pas se heurter à des cris et à des coups. La maison est pleine de peur et d'anxiété. La situation est aggravée par la progression de l'alcoolisme. Les crises de boulimie s'allongent et l'alcoolique devient de plus en plus colérique et intolérant.

Si, alors il est important que le mari prenne des mesures en temps opportun.

Comment se comporter lors de l'agression du mari?

Le comportement correct de la femme face à un conjoint agressif aidera à éviter les blessures morales et physiques, ainsi qu'à garder le contrôle de la situation.

À la vue d'un conjoint en colère, vous devriez essayer de ne pas lui montrer votre peur. La peur est un provocateur de colère et d'agressivité, elle nourrit l'alcoolique. Dans les familles où l'ivresse et la violence sont chroniques, la personnalité de la femme est déformée. Il lui est presque impossible de garder son calme dans une situation critique. Mais vous devez faire un effort sur vous-même et cacher vos émotions.

Vous ne devriez pas remarquer son comportement et ne pas montrer de mécontentement. Malgré les cris, les tatillons et les provocations, vous devez vaquer sereinement à vos occupations quotidiennes. Avec un tel comportement de la femme, le mari cessera d'être le centre d'attention de la famille. Parfois, les alcooliques se comportent de manière agressive, essayant de s'affirmer. Ils aiment que tout le monde ait peur d'eux et dépende de leur humeur. Il n'est pas nécessaire d'ignorer avec défi l'agresseur. Cela le rendra encore plus furieux. Vous devez parler calmement et paisiblement.

Vous ne devriez pas vous disputer avec un mari ivre et essayer de le convaincre de quelque chose.

En état d'ébriété, une personne n'est pas en mesure de percevoir adéquatement la situation. Il ne fera que devenir plus en colère et le matin, il est peu probable qu'il se souvienne des événements d'hier. La femme gaspille son énergie.

Bien que les enfants souffrent souvent de l'agressivité des pères, de nombreux alcooliques essaient de ne pas faire passer leurs émotions à leur progéniture, en particulier les plus jeunes. Par conséquent, il est logique de déménager dans la chambre des enfants si le mari est scandaleux. Avec les enfants, il se comportera plus calmement et ne touchera pas sa femme.

Pour calmer un conjoint irrité, vous devez attirer son attention sur ce qui l'intéresse. Vous pouvez l'inviter à regarder un match de football ou à jouer à un jeu vidéo avec les enfants.

Si la femme est sûre que le mari n'utilisera pas la force, il peut être arrêté par une réponse nette et catégorique. Par exemple, exiger de ne pas parler sur un tel ton ou de se comporter plus calmement. Vous devez parler fermement, en toute confiance, avec estime de soi. Le comportement atypique de la femme va déconcerter le bagarreur et l'arrêter pendant un moment. Après une phrase rafraîchissante, vous devez faire une pause et poursuivre la conversation sur un ton paisible et calme, en la transférant au courant dominant de tous les jours. Cela permettra à la femme de prendre le contrôle de la situation.

Pourquoi les maris ivres deviennent-ils agressifs ?

Le comportement agressif d'un mari qui boit est généralement causé par l'exposition à des boissons alcoolisées. À mesure que l'alcoolisme se développe, le comportement d'un homme change. Si sur étapes préliminaires il éprouve une poussée de force et d'euphorie lorsqu'il est intoxiqué, puis après le développement de la dépendance, l'alcool provoque chez l'alcoolique de l'agressivité, de l'impolitesse et de l'irritabilité. Comment plus de gens boit, plus il devient dur, féroce et despotique. Cela doit être compris par les épouses d'alcooliques qui espèrent un changement pour le mieux. Après tout, de nombreux alcooliques, lorsqu'ils sont sobres, deviennent des conjoints doux et aimants. Ils se repentent sincèrement de leurs actes et jurent à genoux que cela ne se reproduira plus. Il est plus agréable pour une femme de croire son mari, car elle ne veut pas détruire la famille et priver les enfants de leur père.

L'alcoolisme est une maladie. L'alcool éthylique (un composant de l'alcool) s'accumule dans le corps et le détruit. L'alcool éthylique a un effet majeur sur le cerveau et le système nerveux. Même s'il boit peu d'alcool, avec le temps, il développe une psychose alcoolique. Sous l'influence de l'alcool éthylique, un alcoolique développe des hallucinations, de la peur, de la panique et de l'anxiété, ainsi que de la haine et de l'agressivité. Il lui semble qu'il est entouré d'ennemis et de méchants, et sa femme triche et fait des plans astucieux. La destruction de la psyché continuera aussi longtemps que les boissons alcoolisées. Dégâts les organes internes, qui provoque l'alcool éthylique, ne fait qu'accélérer le processus de dégradation de la personnalité. Par conséquent, il est possible d'arrêter l'agressivité d'un conjoint qui boit uniquement s'il arrête de boire.

Comment faire pour que mon mari arrête de boire ?

Un conjoint qui boit comprend généralement bien où et comment il peut se comporter. Une personne peut contrôler beaucoup de choses. Le comportement du mari dépend en grande partie de la réaction de sa femme. Par conséquent, les épouses d'alcooliques chroniques sont considérées comme codépendantes. Ils soutiennent le désir de boire du mari, souvent sans s'en rendre compte.

Pour qu'un mari ne boive pas d'alcool, il doit comprendre que sa femme ne supportera jamais sa dépendance. Par son comportement, une femme doit constamment démontrer son attitude négative envers l'alcool. Vous ne pouvez pas montrer de faiblesse et encourager à boire parfois, "en vacances". Vous ne devriez pas récompenser un verre d'alcool pour le travail effectué.

Il est conseillé de ne pas conserver de boissons alcoolisées à la maison et d'abandonner l'habitude de célébrer divers événements mineurs avec un verre.

Vous ne devriez pas justifier les bouffonneries d'un mari buveur aux autres et résoudre ses problèmes. Il doit lui-même être responsable de ses actes.

Il n'est pas nécessaire de créer des conditions confortables pour que le mari puisse boire avec des compagnons de boisson à la maison. De tels "amis" ne devraient pas hésiter à être chassés. Tout contact du conjoint avec des buveurs devrait provoquer un fort rejet chez la femme. Si un homme apprécie sa famille, il commencera à les éviter lui-même.

Il n'est pas nécessaire d'avoir pitié du conjoint buveur, de lui cacher ses "exploits" en état d'ébriété et de minimiser les dommages qui lui ont été causés. Ne gardez pas secret et l'état de sa santé. Un alcoolique doit tout savoir sur lui-même de manière impartiale.

Un homme doit former une association stable de consommation d'alcool avec des événements désagréables: conflits familiaux, problèmes de santé, difficultés au travail ou querelles avec des amis.

Vous devez trouver un moyen de captiver votre mari avec une activité intéressante. Si un homme a un passe-temps, il devrait être encouragé. Une personne enthousiaste boit rarement de l'alcool.

Plus tôt un conjoint commence à lutter contre la dépendance de son mari, plus il est susceptible d'arrêter le développement de l'alcoolisme, de sauver la famille et la santé de tous ses membres.

Si le mari boit tous les jours et fait des crises de boulimie, il faut soins de santé. Dans ce cas, vous devez convaincre l'alcoolique de consulter un médecin.

Comment réduire l'agressivité d'un conjoint ?

Elle survient plus souvent chez les hommes sujets à la violence. De tels hommes déjà aux premiers stades de l'alcoolisme terrorisent leur femme. La tendance à l'agression se manifeste par le désir du mari de contrôler sa femme en tout. Il ne lui fait pas confiance, la considère comme une personne faible et faible, incapable de répondre de ses actes. Un mari despotique ne respecte pas sa femme et ne tient pas compte de ses désirs. Il « explose » rapidement, s'emporte. Offense facilement sa femme, même en étant de bonne humeur. Le tyran n'admet jamais sa culpabilité et considère les autres comme coupables, en particulier sa femme. Il est agressif, impoli et irrespectueux envers les autres. Un homme ne montre pas de sympathie et ne se sent pas désolé pour sa femme.

Pour prévenir les comportements agressifs chez un conjoint violent, il ne faut pas se laisser humilier dès le début de leur relation. Les maris traitent leurs femmes comme elle le leur permet. Les insultes ne doivent jamais être tolérées. Une femme doit protéger sa dignité et exiger le respect. Aux premières tentatives de violence, l'épouse doit être sévèrement repoussé : menacer de divorcer, partager les biens ou appeler la police.